Jui
Nombre de messages : 23 Age : 32 Photo d\'identité : Date d'inscription : 10/12/2008
Feuille de personnage Ennemis: Amour: Il change chaque jours à chaque instant. Je n'ai pas d'amour je le réclame. Affinité:
| Sujet: Nous sommes en hivers Jui. |Sou| Mar 16 Déc - 20:58 | |
| Jui était arrivé la veille et avait fait la connaissance d'un dénomer Uruha plutôt séduisant. D'ailleurs il faudrait qu'il pense à nepas tarder pour obtenir les informations qu'il désirait. Je disais donc que la veille il était arrivé dans cet academie. Et voilà déjà que son père voulait le voir. Bon cela ne poserait pas trop de problèmeil n'avait pas cours ce matin là. Il se leva donc, car bien sûr son père très généreux avait demander à son fils de venir le voir à 9h00 dans un restaurant de Shybuya. Il se leva donc et déséspéra en se rendant compte qu'il avait passer la nuit seul. Il n'aimait pas dormir seul. Il enfila un mini short blanc, un corset blanc, plus veste lègère rouge. Puis passage dans la salle de bain pour une séance coiffage et maquillage. Quand il jugea qu'il était parfait il enfila ses botte, pris un de sesmultiple sac et enfila ses bottes pour aller rejoindre ce père.
Il était 11h quand il le quitta avec une grande joie. Son père venait pour lui faire encore une fois des recommendations. M'enfin il s'en moquait parfaitement. Il faisait ce qu'il voulait. Et puis il était le seul et l'unique héritier alors son père aller devoir faire avec pour son entreprise. Il avait pris le chemin du retour quand la pluie se mit à tomber. Il chercha alors un abrit afin de prendre un taxi, pensait vous bien que son père n'allait pas le ramenner, et bien sur aucun taxi n'apparut alors il du courir le plus vite possible pour arriver dans la cours. Là-bas il avisa un petit préau, grelottant de froid. Il était complétement trempé. Mais qu'elle idée dene pas pensée à prendre une veste plus chaude et un parapluie alors que nous sommes en hiver!
Alors qu'il se maudissait lui-même et qu'il attendait que lapluie ce calme un peu pour traverser les quelques mêtres qui le séparer du hall il se mit à éternuer. Et bien voilà, il allait tomber malade maintenant. | |
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