Nouvelle rencontre [Uruha]

Aoi n'avait pas beaucoup de cours aujourd'hui. Pas plus mal! Il pourrait se détendre un peu mais comment? Il faut dire qu'il faisait un froid de canard, il ne serait donc aller nul part sans être frigorifié. Pas très amusant cela. Enfin, il sortit de son bureau n'ayant pas oublié de se revêtir de son manteau et son écharpe. Bon il faut dire qu'il avait beaucoup trainé et là, il ne lui restait plus que 1 heures.

Mais qu'est ce qu'il allait faire? Bon déjà, ce détendre en allant fumer une cigarette et puis après? Bonne question. Enfin, il sortit tout de même hors du bâtiment et alluma une clope non sans mal. En effet, son briquet fonctionnait de plus en plus mal. Après plusieurs essais, voilà qu'il réussissait enfin. Au bout de 5 minutes à tourner en rond tout en fumant, il jeta le mégot et se dirigea en direction du hall.

Une fois sur place, il remarqua qu'il n'était pas seul. Ah bien, un élève? Que faisait-il là? Comme à son habitude, Aoi détailla le jeune homme et il ne put s'empêcher de se dire que tout décidément, la plupart des personnes ici étaient vraiment bien faites. Comment aurait-il put se tenir calme après tout cela? Bon enfin, il salua l'inconnu et lui sourit en profitant de regarder son visage.

Aujourd'hui, Uruha n'avait aucune envie d'aller en cours. Comme d'habitude me diriez-vous mais cette fois-ci il avait même décidé de sécher les cours. Mais il ne voulait pas non plus rester enfermé dans sa chambre toute la journée. Alors, il décida d'aller se détendre un peu dans le Hall d'entré. Un endroit calme aux heures de cours. Vêtu de ses habituelles portes-jartelles noires en cuir, d'un T-shirt noir et d'un long manteau en cuir noir qu'il laissait toujours ouvert pour faire comprendre de quel monde il appartenait. Oui, la tenue vestimentaire fait beaucoup dans la vie de Uruha où il ne fait qu'obéir et se soumettre.
Une fois dans le Hall d'entré, il alla s'adosser à un mur proche. Il leva le visage au plafond et ferma les yeux. Il ne faisait pas très chaud mais il n'eut pas le réflexe de fermer son manteau. Il finirait sans doute par attraper un rhume le pauvre. Uruha prit une cigarette qu'il avait dans sa poche. Il l'alluma et la porta à ses lèvres. Il ne savait pas si il avait le droit de fumer ici mais il s'en fichait complétement.
Après de longues minutes de détente, Uruha eut finit sa cigarette. Il la prit et l'écrasa par terre. Mais, en relevant la tête, il entendit quelqu'un le saluer. Il releva vite la tête et regarda le jeune homme. C'était un professeur. Il ne se souvenait plus lequel mais il en était sûr. Quelle chance de se faire griller par un professeur alors qu'il est en train de sécher les cours. Mais, étrangement, le professeur ne fit que le saluer.

- Bonjour, Monsieur.

Dit Uruha sans quitter le professeur du regard. Uruha n'était vraiment pas rassuré. De plus le professeur ne cessait pas non plus de le regarder. Géné, Uruha baissa le visage vers le sol et s'adossa une nouvelle fois au mur, comme si de rie n'était.

Et bien, le moins que l'on puisse dire est que ce garçon en face de Aoi avait de bien jolies cuisses. Impassible qu'elles passent inaperçue vu la pose qu'avait prise l'adolescent. Vraiment, le garçon était bien fait et il se savait se mettre en valeur... d'une manière très provocante. Le professeur y aurait bien laissé ses mains se balader sur le corps de l'inconnu et il n'allait pas se faire prier pour cela. Aoi ne trouva d'ailleurs pas bien compliqué de trouver une excuse pour s'approcher. Les lieux sentaient la cigarette et un mégot n'était pas très loin de l'élève.

Le professeur s'approcha avec un peu sourire en coin. Celui qu'il fait à chaque fois qu'il trouve une nouvelle proie. Un vrai dégénéré, on aurait pu l'enfermer pour ce genre de penser non? Mais pourquoi s'inquiéter avec cela maintenant alors qu'il savait qu'il allait s'amuser.

- Jeune homme il est interdit de fumer dans les couloirs.

Une fois que le brun fut assez proche, il n'attendit pas plus longtemps pour passer sa main sur l'une des cuisses du jeune homme. Il n'allait pas se gêner non plus.

- Mais bon, je pourrais passer les ponts dans certaines conditions.

Sur ce, la main qui se trouvait d'abord sur la cuisse remonta jusque sur l'entre-jambe de l'adolescent. Ce genre de propositions ne tenaient vraiment pas la route mais bon, même s'il se doutait bien qu'il allait allait refuser, Aoi ne lui laissait pas vraiment le choix.

En se moment, Uruha n'avait vraiment pas de chance. D'abord il avait était envoyé dans la salle des professeurs pour avouer quelques chose qu'il ne voulait et maintenant il se fait surprendre en train de fumer. En plus par un professeur aussi charmant soit-il.
Uruha continuait de regarder par terre comme si de rien n'était. Peut-être que comme ça le brun continuerais son chemin san rien voir. Mais non. En entendant la remarque du professeur qui s'approchait, Uruha releva la tête doucement, un air agacé sur le visage. Il n'avait qu'une envie c'est de répondre qu'on était pas dans les couloirs mais il s'abstenait. Tout simplement parce qu'il ne voulait pas passer pour un gamin devant un de ses professeurs.
Uruha attendait que le brun soit assez proche. Il s'attendait à recevoir une claque ou mieux, une punition ou quelques chose dans ce genre-là mais rien ni fait. Le professeur se contenta d'avancer mais en arrivant à la hauteur de l'élève il posa sa main sur une des cuisses de celui-ci. Uruha fit de grands yeux ronds. Il ne comprit pas vraiment al façon d'aborder les élèves du professeur. Mais ce qui l'étonné encore plus fut la remarque qui suivit. Une proposition. Uruha en avait connues tellement qu'il ne se trompait plus désormais. Mais là il n'avait vraiment pas le moral à ça. Tirallé par l'amour et le désespoir il ne voulait pas de ça en plus.
Le professeur remonta sa main jusqu'à l'entre jambe de Uruha. Le châtain arqua un sourcil et fit quelques pas sur le côtès. Il n'avait vraiment aucune envie de jouer à ça ...

- Ano ... Non, merci. Je ... Euh ... Je dois retourner en cours !

Gros mensonges. Pourquoi ? Tout simplement parce qu'il était en train de les sécher ses cours. Mais bon, Uruha espéra quand même que son professeur le croira.

Comme il s'y attendait, sa proposition fut refusée. Pas grave, ce serait marrant. A ce propos, il ne put s'empêcher de laisser échapper un petit rire. Il devait aller en cours. Cela n'avait aucun sens. Aoi ne put s'empêcher de lui faire remarquer. Ben oui, il ne pouvait pas se taire, c'est qu'il était bavard dans un sens... Enfin, il caressa la joue de Uruha

- En cours? Mais ils sont commencés depuis longtemps et ne semblait pas vouloir y aller. Tu seras aussi puni pour ça...

A ces mots, Aoi attrapa les poignets de l'élèves et le bloqua à auteur de sa tête alors qu'il commençait à lui mordiller la nuque. Il devait avoir compris maintenant que son professeur n'avait en aucun cas l'intention de le laisser partir. D'ailleurs, le plus âgé ne tarda pas à s'emparer des lèvres de l'autre sans aucune douceur vu la manière dont lui avait répondu Uruha. Mais franchement, est-ce qu'il allait le prendre dans un endroit pareil? Bah oui, normalement, personne ne trainait par ici à cette heure, il pourrait donc ce qu'il pouvait ce qu'il veut de lui à l'endroit même. Bon, en réalité, le professeur était conscient qu'il courrait des risques en faisant cela, mais il trouvait que c'était amusant.

Le rire du professeur ne fit que mettre plus mal à l'aise Uruha. Il s'était encore fourré dans de beau draps tiens. Il n'aurait pas pu inventer un autre truc. Mais dans la précipitation on ne dit pas souvent grand chose chose d'intelligent.
Le brun caressa la joue de son élève puis fit une autre remarque à Uruha. Puni ? Encore. Et bien ça faisait beaucoup de punitions les unes après les autres. Uruha n'eut le temps de rien dire que le professeur lui attrapa les poignets et les bloqua à la hauteur de sa tête. Il commença à lui mordiller la nuque. Uruha tentait tant bien que mal de se débattre mais en vain. Le brun s'empara ensuite des lèvres de l'élève qui ne savait vraiment plus comment réagir. Instinctivement, Uruha leva une jambe pour ensuite repousser le professeur.

- Mais qu'est-ce que vous faites ? On est dans un Hall d'entrée ici !

C'est vrai ça. Cet endroit laissait franchement à désirer pour une situation pareille. Mais Uruha savait que le brun s'en fichait pas mal. Au moins il aurait essayé quelques chose. Uruha tourna la tête à droite puis à gauche, espérant apercevoir quelqu'un qui lui viendrait en aide. Pour une fois que ça ne le dérangeait pas de voir un professeur. C'est toujours quand on a besoins d'eux qu'ils ne sont pas là.

Le garçon venait de le repousser? Ce n'était pas grave. Il s'amuserait mieux si l'autre essayait de se défendre. Aoi ne put s'empêcher de se dire que l'autre garçon cherchait ce qu'il arrivait, il n'aurait pas dû mettre une tenue aussi provocante. Surtout dans cet école. Enfin, la réflexion de l'élève fit une nouvelle fois rire Aoi. Il allait passer un bon moment avec lui, il n'y avait pas de doutes là dessus.

Une nouvelle fois, le prof attrapa les poignets de l'élève et serra plus fort pour l'empêcher de bouger. Il ne savait s'il arriverait à le maintenir en place très longtemps après tout, le jeune homme était plus grand que lui... et s'il voulait vraiment se défendre, il n'aurait sans doute pas trop de mal.

- Je suis d'accord, il y a d'autres endroits biens mieux que celui-ci. Bien, dis moi où tu veux aller!

Bien entendu, il se doutait bien que Uruha n'aurait pas de réponse à cela. Normal après tout, mais il avait bien l'intention de l'emmener ailleurs. Un endroit plus calme. Si le plus jeune n'avait pas eut ce physique assez... impressionnant, Aoi ne se serrait pas fait prier pour en terminer dans le hall mais il ne préférait pas...

Uruha était complétement déboussolé. Bon d'accord, ce n'était pas la première fois que ça lui arrivait mais pas dans un Hall d'entrée. D'habitude ce genre de situation étaient plutôt dans des chambres ou même des salles de cours mais visiblement, le professeur n'avait pas eut trop le choix.
Uruha avait toujours le visage tourné vers la gauche quand il sentit le brun lui rattraper les poignets. Mais cette fois-ci il serra plus fort encore. Un bref instant, une petite grimace de douleur parcourut le visage de l'élève. Le professeur lui répondit qu'il était d'accord avec lui car il y avait des endroits bien plus appropriés. Il demanda ensuite à son élève où voulait-il poursuivre ces actes. Uruha regarda le visage de son professeur. Bon d'accord, ce professeur était un des plus séduisants et attirants mais Uruha ne voulait pas de ça. Enfin pas dans des moments pareils.

- Où je veux aller ? Je veux retourner en cours, ou plutôt là où vous ne serez pas !

Uruha tenta tant bien que mal de se débattre mais rien ni fit. Il releva le visage, remit une de ses mèches en place grâce à un petit coup de tête puis plongea son regard dans celui du professeur. Le regard du châtain était emplit de haine mais aussi de désespoir en espérant que le brun abandonnerait. Mais cela ne risquait pas d'arriver de ci-tôt.
Uruha repenssa à tout ce qui lui était arrivé depuis qu'il était dans cette académie. D'abord il avait retrouvé un ami, Miyavi. Ensuite il avait été forcé de tout avouer sur sa vie à un autre professeur, Hyde. Enfin, il avait fait la connaissance de Ruki, un jeune homme mervielleux sur lequel il avait craqué. Et maintenant ils étaient ensembles. Beau tableau mais le brun aller tout gaché. En effet, Uruha ne voulait pas faire de mal à Ruki surtout avec un professeur.
Désespérement, Uruha tenta une nouvelle fois de se défaire de l'emprise du professeur mais en vain.

Mais c'est qu'il avait du culot! Ce que dit le jeune homme fit rire Aoi. Cependant, il ne put s'empêcher de lui donner une gifle. Ce n'était tout de même pas malin de dire une chose pareille! Aoi ne tarda pas à prendre les paroles histoire de l'énerver un petit peu.

- Et bien, maintenant tu ne sècheras plus les cours, n'est-ce-pas? Tu dois regretter maintenant que tu sais ce qui va t'arriver...

Enfin, l'autre continuait à se débattre. Il n'avait vraiment pas envie le pauvre. Mais voilà, Aoi, lui, était déjà très excité et il n'allait pas se priver pour lui faire plaisir. D'ailleurs, lorsque Uruha remit sa mèche et le regarda avec tellement de colère ou de haine, le professeur ne put s'empêcher d'avoir encore plus envie de lui.

- Qu'est-ce que tu es beau avec ses yeux là!

Le pauvre... il ne devait pas avoir d'entendre ce genre de choses. Mais c'est vrai... Uruha était vraiment sublime alors pourquoi se taire à ce sujet? Enfin, Aoi avait remarqué que le jeune homme n'arrivait pas à se défendre ce qui était assez surprenant. Il se méfiait un petit peu et ne savait pas comment allait réagir l'autre une fois qu'il le lâcherait. Cependant, il tenta tout de même son coup prenant soin d'essayer de lui tenir des mains en même temps. C'était tout de même sûr! Sur ce, sa main libre revint faire un tour sur sa cuisse avant de la passer dans le short du garçon.

- Tu vas voir, on va bien s'amuser tous les deux.

Uruha regardait son professeur avec toujours autant de haine. Il avait toujours le chic pour se foutre dans les situations les plus tirées par les cheveux. Uruha voulu répliquer autre chose mais il n'eut le temps de rien faire qu'il se reçut la main du brun en plein visage. Uruha resta plus qu'étonné du geste du jeune homme. Frapper un de ses élèves c'était inadmissible mais ce professeur avait l'air de s'en ficher complétement.
Ah ça pour regretter d'avoir séché les cours, Uruha le regrettait amérement. D'autant plus qu'il connaissait le sorts qui lui était réservé et qu'il n'avait pas forcement envie d'y goûter. Quand il eut remit sa mèche le professeur lui fit une remarque plus innatendue. En effet, Uruha ne s'attendait pas du tout à ce que le brun le complimente sur son regard. Mais le châtain ne changea pas pour autant l'expression de son visage.

- Mais lachez moi ! Je ne me laisserais pas faire si c'est ce que vous attendez !

Après la gifle du professeur, Uruha remit une nouvelle fois ses mèches en place. C'est qu'il ne supportait pas être décoiffé même dans une situation pareille. Après quelques instant s de silence, le brun libéra son élève tout en lui gardant les mains attachées. Uruha ne fit rien et attendit la suite qui ne se fit pas attendre. En effet, la main libre du brun vint caresser une nouvelle fois la cuisse de Uruha et passa ensuite à l'intérieur de son short. Uruha tenta de se reculer mais il se prit le mur dans le dos. Une nouvelle fois il tenta de repousser son professeur avec une des jambes mais c'était plus facile à dire qu'à faire.

Encore une fois, Uruha disait une chose de plus amusantes. Un vrai petit comique celui là. Je me laisserai pas faire. Oui, ça pouvait pouvait être amusant mais il n'avait pas l'air de trop savoir comment se défendre, il pourrait donc en profiter. Peut-être le voir se tordre dans tous les sens pour tenter de lui échapper.

- Et bien, ne te laisse pas faire qu'est ce que tu veux que je te dise?

Le professeur se comportait d'une manière bien provocante. Il n'agissait pas tellement comme ça d'habitude. Dans la plupart de cas, lorsqu'une personne veut se libérer, et bien, il se contente de l'attacher et le regarde se débattre avec d'amusement. Mais là, il faisait toutes sortes de remarques... alors qu'il n'avait même pas de quoi attacher sa victime. Il se pourrait que Aoi soit suicidaire qui sait.

Enfin, il venait de passer sa main dans le short du jeune homme et massait son entre jambe. Pas mal, pas mal! Il devait être joli à voir sur ce point là. Il n'allait pas tarder à vérifier tout cela mais d'abord sa main passa faire un petit tour sur les fesses du garçon.

[désolée j'y arrive vraiment pas là]

[ Pas de problèmes, je vais essayer de faire mieux moi aussi xD ]

Décidemment ce professeur était vraiment étrange. D'abord il empéchait Uruha se sé défendre et maintenant il voulait que celui-ci réagisse quand même un peu plus. Bien, puisque c'était si gentillement demandé pourquoi refuser ?

- Mais j'ai pas envie de vous faire trop mal monsieur ...

Dit-il sur un ton provocateur et sûr de lui. Etrangement, Uruha avait reprit un minimum confiance en lui. Il ne voulait pas se laisser faire cette fois-ci. Et puis, pour une fois qu'il n'était pas d'accord avec ce genre de petits jeux. C'était vraiment dans les pires moments que ce genres de chose lui arrivait.
Le professeur se mit à masser l'entre jambe de son élève à qui cela ne plut pas trop. Il voulait se reculer mais ce fichu mur était toujours derrière. Puis, la main du brun se glissa jusque sur les fesses de Uruha qui n'apprécia pas non plus. Les mains du professeur étaient étrangement froides mais vu là où elles étaient, elles ne le resteraient pas longtemps.
Surprit, Uruha sursauta légérement puis reposa son regard sur le visage du professeur. Celui avait l'air de trouver cette situation tout à fait normale voir banale. Pour Uruha ce n'était pas vraiment le cas. Ayant décidé de se défendre un peu plus, le châtain donna un violent coup de pied dans le tibia de son professeur qui lâcha prise de ses mains. Uruha fit quelques pas sur le côtès mais n'eut pas le reflexe de s'en aller. De toute façon, son professeur l'aurait sûrement rattrapé.

La réponse de Uruha fit sourire le professeur, il ne voulait pas lui faire trop de mal? Quelle délicate attention. Enfin, vous l'aurez compris, cela n'inquiétait pas du tout Aoi qui aurait pourtant dû se méfier. D'ailleurs, cela n'empêchait le professeur de laisser l'une de ses mains se balader sur le corps de son élève qui tentait toujours de lui faire faux bon.

- Continue, mais je pense que tu n'arriveras à rien de cette manière.

Grave erreur! A peine Aoi eut-il fini de parler qu'il se prit un coup assez violent au tibia. Par réflexe, le professeur se recula, une grimace de douleur sur le visage tout en se massant le point devenu douloureux.

Une fois qu'il "reprit ses esprit", il ne put s'empêcher de fusiller son élève du regard avant de lui donner une gifle et lui attraper les cheveux.

- Alors tu veux jouer à ce jeu là? Comme tu veux...

Sa main partie une nouvelle fois plus violemment que la première, cependant, Aoi évitait de trop s'approcher ayant compris que sa nouvelle victime n'hésiterait pas à se défendre une nouvelle fois. Après tout, il voulait donner cours en un seul morceau sinon aurait paru très bizarre aux yeux des autres élèves.

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